J’ai eu la chance il y a quelques jours d’être invitée à Venise pour assister à l’inauguration de la restauration de la statue de Saint Théodore financé par la célèbre entreprise familiale Italienne Vénitienne Rigoni di Asiago spécialisée dans la production biologique de miele et confitures de grande qualité.
Rigoni di Asiago depuis toujours liée à la tradition et à la culture a soutenu la restauration de la statue de Saint Théodore démontrant sa sensibilité à la Culture. Sensibilité exprimée de façon exemplaire par le P.D.G. de la société Monsieur Andrea Rigoni un homme d’une délicatesse et d’une douceur rare.
Andrea Rigoni (Pdg Asiago di Rigoni)
” Le rôle de l’entrepreneur et de l’entreprise a beaucoup changé dans le cours de ces dernières années. Le concepte de responsabilité sociale qui un temps était de la compétence exclusive du secteur publique aujourd’hui n’est plus le même. Le Privé et le monde de l’Entreprise sont devenu les “Nouveaux Mécènes” de l’époque actuelle. Le concepte de Responsabilité Sociale d’une entreprise aujourd’hui est celui d’aller au delà de l’idée des objectifs économiques a atteindre pour se préoccuper d’élargir sa charge au développement durable au social et à l’environnement. C’est la raison qui a convaincu de nombreuses entreprises Italiennes et étrangères a participer à la restauration de biens culturels.”
La statue de San Théodore representée dans l’acte de tuer un dragon, se trouve sur l’une des colonnes de la place Saint Marc. La restauration de l’originale qui se trouve à l’intérieur du Palais des Doges a pris 11 mois. Cette restauration redonne à la Cité des Doges un de ces symboles les plus importants, emblème de synthèse entre culture et civilité. Théodore occupe la colonne occidentale de la Piazzetta depuis 700 ans.
Je vous invite vivement lors de votre prochain voyage a Venise a aller admirer la statue au Palais des Doges.
J’ai été énormément impressionnée et touchée par l’humilité de Mr Rigoni (pdg Rigoni di Asiago) et sa grande disponibilité vers son prochain et sa propre ville.
Sandrine Aloa-Mani
